Quand j’étais ado, avec des copains, il nous arrivait, pour faire bisquer, pour provoquer les filles qui refusaient de se laisser approcher, de disserter savamment sur la souffrance du violeur. On faisait cela sur le ton de la plaisanterie (hum…), mais il est vrai qu’il nous eût été difficile de tomber plus bas.
Hé bien dans le Canada hyper politiquement correct de l'inconscient Trudeau, c’est fait. Et par des adultes, et le plus sérieusement du monde. Une petite de 14 ans a été abusée par un Syrien – un migrant, une espèce particulièrement protégée au Canada – qui a commencé par la draguer lourdement en compagnie d’un (ou deux selon les sources) de ses compatriotes. Puis il lui a caressé les seins, a glissé sa main dans sa culotte et lui a touché le vagin.
Apparemment, cela n’est pas allé plus loin. Mais c’était déjà beaucoup pour traumatiser cette enfant à vie.
La mère de la petite s’est aperçue que la direction de son école de danse avait pris le parti du jeune syrien. De plus, la police lui a demandé de considérer l’événement du point de vue du réfugié syrien, de prendre en compte le « contexte culturel » de cet acte, les vêtements occidentaux qui ne peuvent que provoquer et les « hormones en folie » d’un jeune homme résidant dans un pays autre que le sien.
L’abuseur présumé fut sanctionné d’un renvoi de l’école d’une semaine. Il a retrouvé les bancs de sa classe et la pauvre gamine suit une thérapie.
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