Les temps sont durs et déglingués, on le sait bien. Les nouvelles techniques font croire que l'on s'approprie le monde alors qu'on n'en saisit qu'un reflet, une réfraction, une vague idée (damned, je suis poète sans le savoir : j'avais tapé “ une vague iodée ” !).
De plus en plus nombreux sont les dingues qui pensent qu'il vaut mieux, non pas mourir pour une photo – ce qui relèverait d'un certain idéal, mais mourir pour faire une photo de soi. Le comble du narcissisme. La toute puissance de bazar.
Deux exemples :
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